TEMPS DE CONSCIENCE...
CE 13 OCTOBRE...
L'histoire nous fait gravir les marches d'une période d'épreuves sans précédent. Nous, fidèles du Christ, nous avons oublié que l'Incarnation du Verbe en l'humanité de Jésus le Nazaréen, fils de David, est l'ascension de la croix. Depuis la Renaissance, nous l'écrivons selon l'idée que nous nous en faisons, c'est-à-dire, l'illusion d'un paradis à saisir, à consommer dans notre présent terrestre... Sans que jamais nous y parvenions, comme l'enfant butté qui remplit son seau de plage d'eau de mer avec une épuisette. Nous ne voulons plus celle des saints qui se conclura dans l'Océan d'amour et de vérité.
Il ne nous manque ni spécialiste ni expert ni ténor ni bonimenteur de l'ordre intellectuel. Ils nous proposent des solutions exposées sur des médias éculées dans les lustres fanés et ensanglantés de la république. Ils sont aux ordres d'une oligarchie froide et athée. La France est devenue une immense foire dominée par l'ombre tutélaire des princes noirs et aux idées morbides. Ils sont les prédateurs de la vérité, de l'amour, de la vie. Ils se sont autoproclamés juges sans conscience de notre conscience. Les saint-juste verts, condamnant en rouge-noir des hommes et des femmes debout. Ils orchestrent la symphonie de la mort des innocents et des moins rentables. Ils font l'amour avec leurs tueurs à gage.
Nous catholiques de France, fidèles du Christ, puisque, il ne nous reste que notre foi, rien ne doit nous retenir face aux effets délétères du mondialisme. Nous voici dénudés. Notre pauvreté et notre impuissance permet à la grâce de Dieu de nous éclairer pour comprendre et accepter que nous n'avons plus que Lui pour appui. Il nous dépouille de tout ce qu'il y a de trop humain en nous qui nous empêche de suivre la voie qu'Il nous a tracée.
Nos frères, nos sœurs, nos enfants ont-ils besoin de notre force, de notre gloire d'antan ?
Et si Dieu, par eux et pour eux, nous adressait le même appel qu'Il adressa aux Douze Apôtres, hommes dépouillés du monde : J'ai besoin de votre immense pauvreté et impuissance. Ils les Lui ont données. Il les a prises sur Lui et s'en est revêtu sur la Croix.
- Ne nous appartient-il pas, en ces temps de désolation, de les reconnaître en nous et de les Lui offrir également, puisque, c'est là tout ce que nous possédons de nous-mêmes ?
- Est-ce que, aujourd'hui, nous sommes capables de recevoir et comprendre cet appel ?
- N'est-il pas encore temps de quitter le confort de nos angoisses de complaisance, que nous revêtons comme une nouvelle peau sécuritaire ?
- Ne nous donnent-elle pas le sentiment d'exister au moins pour soi-même ?
Prenons garde qu'elles ne creusent des fleuves de sang !
- Sommes-nous encore capables de sourire au Soleil levant ?
Oui, des barbares ont tué un enseignant. Sans doute, ils recommenceront. Notre frère vient d'offrir sa vie pour en sauver d'autres. Ce geste le place à la Droite du Père, qu'en bien même ne serait-il pas croyant.
- Croyons-nous réellement n'avoir aucune complicité de cette tuerie ?
- Quant avons-nous demandé pardon de nos fautes ?
- Quant avons-nous passé une heure avec le Bon Dieu ?
- Croyons-nous réellement n'avoir aucune responsabilité face à ces tueries?
Nous avons voulu oublier que la foi reçue au baptême nous engage à participer au combat du ciel, celui du bien contre le mal. En disposant notre cœur à la volonté d'amour du Dieu, nous témoignons bien plus sûrement de ce combat et de sa véritable nature. Ne nous préoccupons plus de nos donneurs de leçon ni de ces obsédés de la réforme pour elle-même. Sous le prétexte de faire entrer toute l'humanité dans les filets imaginaires du Salut, ils ouvrent des chenaux de perdition. Le Christ-Jésus n'est pas mort sur la croix pour satisfaire le monde, mais pour le vaincre. Il n'a pas donné sa vie pour que le mal devienne insignifiant et la charité une option, les Dix Commandements un libre-service. Nous sommes catholiques. Nous suivons le Christ selon la tradition et l'enseignement sept fois millénaire, une vérité cimentée par le sang de nos martyrs, de nos justes, de nos innocents. Nous n'avons d'autre solution, d'autre possible que de fixer notre regard vers la Croix en donnant la main à la Mère de Dieu, Mère de l’Église. C'est notre mère plus mère que notre mère de la terre.
- Enfants de Dieu, allons-nous mourir en enfants déchus ?
Nous n'avons eu ni le courage moral ni même d'honneur de nous opposer aux seigneurs des pouvoirs. Ceux-là sont les princes du mensonge, de la trahison. Ces sans-visages, ces sans-identités sont maudits, et nous les avons élus. Ils sont là où notre lâcheté les a mis. Ils sont notre condamnation. Ils nous accuseront au tribunal divin.
Français, nous nous réjouissons trop vite du plat de frites. Mais nous ne voulons pas voir que le bain qui les cuit est du sang des enfants à naître... Notre société n'est plus qu'un immense blasphème. Nous commençons à en payer le prix. Enfermons-nous dans notre chambre et prions, supplions Dieu d'avoir pitié de notre âme.
Ne nous illusions pas. Ce qui se passe maintenant, après l'agression du Hamas n'aura pas de fin avant que Dieu n'ait eu satisfaction de sa Justice. Qu'importe que ces événements de Palestine aient été un coup monté, un second 11 septembre... Ce que nous devons retenir, c'est que Dieu l'a permis. Il fait concourir le mal au bien. Il réclame Justice pour le rejet que l'humanité fait de son Fils à commencer par le tiers de la hiérarchie de l’Église, le sanhédrin (conseil des prêtres et des rabbins du Temple qui ont condamné injustement Jésus). Sanhédrin de nos jours sinistres.
Demandons le secours de la Vierge Immaculée pour qu'Elle nous remette sur le chemin du Salut. Serrons-nous tout contre Elle. Consacrons-nous à son Cœur Immaculé. Il n'y a pas de retour en arrière. Dieu retire sa Miséricorde. C'est l'heure de sa Justice. Qu'importe le temps que cela prendra. Cette Justice sera une immense purge. Accrochons-nous à notre foi et à notre espérance. Logeons-nous dans l'unité triomphante des trois Cœurs Sacrés. Ils sont la source de la charité agissante sur la terre des hommes.
- Retrouvons notre dignité d'enfant de Dieu.
- Revenons aux vertus chrétiennes qui ont fondé notre culture, notre civilisation de vérité, d'amour et de justice.
- Revenons à la France née au baptême de Clovis qui fit d'elle la fille aînée de l’Église.
Ce combat est notre salut !
Bonsoir Mr Aubrit,
Avez- vous connaissance de ce document remis aux Évêques lors du Concile Vatican 2 :
https://judaisation.wordpress.com/
Dieu vous garde. jp