OU
LA #DICTATURE DU #MONDIALISME
de
« Il faut une pandémie pour instaurer définitivement le mondialisme. 1»
La crise sanitaire éprouve le peuple de France. Les conséquences sont : la mise à nu de nos services sanitaires, des ressources alimentaires et autres nécessités dont les produits manufacturés, mais c’est notamment la lumière sur la #faillite d’une politique de désindustrialisation de notre pays, de notre perte d’indépendance et celle de l’idéologie mondialiste et antinationaliste. Elle est l’occasion pour mettre en place les premiers réseaux aériens de surveillance électroniques en application de la loi de ce 25 mars en effet, des drones survolent Paris dans le but de décourager les contrevenants au #confinement. Mais c’est aussi l’opportunité d’instaurer progressivement un réseau de surveillance généralisé à toute la #France dans la perspective de nous habituer à la nécessité d’une plus grande sécurité civile et policière en vue de nous préparer à l’instauration d’un #régime #dictatorial selon le mode #pékinois. Des municipalités pour s’assurer leur réélection, ont multiplié les annonces de ce type sans proposer une réelle politique de prévention de la délinquance. Il reviendrait moins cher d’encourager la maman à rester à son foyer et surveiller ses enfants que d’agrandir les prisons.
La presse a révélé des cas de #délation entre voisins : voici que l’occupation est de retour. Ah #Vichy, tu nous manquais ! Et nous connaîtrons les représailles de la #libération. Merci, Mr #Macron.
Nous ne sommes pas en guerre. Nous sommes en situation d’urgence #sanitaire.
{Nous sommes en guerre, vraiment ? C’est un abus de langage, il contient des arrières pensées, et génère des séquelles parmi le peuple. L’effet oratoire qui a été recherché a des impacts au-delà de la mise en alerte du peuple. Il souligne un désarroi parmi le gouvernement et la classe politique, et sous-entend des atteintes aux libertés individuelles. L’usage de ce mot n’est pas innocent, il infléchit les comportements des moins éduqués, des marginaux qui voient-là un affaissement de l’autorité de l’État, une opportunité pour s’en prendre à toutes les institutions et leurs symboles. Imposer leur pouvoir. Les hésitations et les incohérences récurrentes de cette majorité face à cette pandémie accentuent l’impression d’une certaine déliquescence de l’État. A cause de l’emploi intempestif, irréfléchi du mot « #guerre », il est évident que la sortie de cette urgence sanitaire transformera la société, mais bien difficilement en positif. Les mots ont une résonance morphogenèse, ils impactent le présent et le futur selon les circonstances. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que derrière les mots se dévoilent des intentions que l’on cherche à dissimuler. Ceux qui n’ont guère de souci de conscience avec le mensonge, ne se rendent pas compte qu’ils découvrent un peu de leur projet. La pensée et l’intention sont similaires, elles sont en acte. La pensée a sa propre influence dans les #champs #morphogenèses, et comme il s’agit d’ondes celles-ci viennent tamponner les autres parce qu’elles ne sont pas dans l’intention de Dieu, du #Bien #Souverain. Elles agissent sur chacun d’entre nous selon notre vie intérieure, spirituelle, et ceux qui n’en ont pas s’en trouvent infestés, voire prisonniers, et dans certains cas, les victimes sous cette influence peuvent avoir un comportement où s’accentuent leurs défauts et faiblesses. Ils seront portés plus facilement au mal, au péché ou selon au bien2. La sémantique du premier discours tend à développer une culpabilité sur la situation présente en lien avec les décisions antérieures au sujet desquelles les Français n’ont pas été invités à se prononcer. Le politique veut bien une certaine dose de responsabilité, mais pas de culpabilité surtout pas à la sortie de cette épreuve, il veut s’émarger moralement et légalement des probables troubles sociaux. Ce n’est pas le discours présidentiel de ce 13 avril qui apaisera les esprits. On retrouve la même pratique dans le scandale du sang contaminé : « #responsables, mais pas #coupables ». }
Une fois de plus ce gouvernement est dans la continuité de l’ancien président #Georges #Pompidou, et de ses successeurs, tous furent inintelligents au Bien Commun des Français et de celui de la personne et celui-ci bien plus encore parce qu’il recherche à réaliser du projet mondialiste qui ne peut se faire que dans le dédain pragmatique du peuple et du citoyen sur le mode de la société anonyme et bien contrôlée.
Le néolibéralisme sévit dans l’ensemble des pays, sauf en #Russie, à #Cuba, il est si extrême, qu’il peut être qualifié d’hyper-libéralisme. Les #Etats, dans un premier temps, en vue de la sortie de crise amorcent un virage plus social, ils craignent de se retrouver face à un cataclysme aboutissant à des insurrections. Ce que semble avoir pressentit Mr Boris Johnson avant tout le monde, qui dans son discours programme développe une préoccupation sociale à laquelle les Britanniques n’étaient plus habitués depuis le #thatcherism. En France, le gouvernement ne peut relâcher la corde, mais ce n’est qu’illusion, car l’objectif est le même, et ils veulent l’atteindre quel qu’en soit le prix pour le peuple, un #mondialisme si incontournable que les peules accepteront d’être gouvernés par un Etat mondial tenu par les financiers, les entrepreneurs.
La majorité comme les précédentes ignorent le cœur sensible de la nation et sont indifférents envers elle, ils ne la voient que comme un instrument pour rejoindre ce pouvoir mondialiste qui ne peut être qu’une dictature.
{ La nation comme le peuple ne sont pas des idéaux, des inexistants, ils sont visibles, ce sont des faits concrets, des personnes ayant une histoire commune, un présent et un avenir articulés au tour d’une identité forte à partir de laquelle se dessine un destin. C’est avant tout une fraternité naturelle qui développe la sociabilisation de l’homme, et à laquelle s’ajoute la nécessité. Une solidarité de vie. Cet aspect fondamental des peuples et nations est aujourd’hui totalement occulté du discours et de l’acte politique parce que son liant qui est l’amitié a été remplacé par la finance, l’économie qui ne cesse d’être dans l’urgence et qu’il dominant. Pourquoi l’amitié ? sans doute parce que l’art, le #facere politique est originalement la bienveillance et que le seul qui semble s’en laisser guider par elle est le Président #Poutine 3. L’une des causes de nos souffrances morales et spirituelles vient de ce que cette réalité n’est plus intégrée dans les projets ce qui favorise la rupture des liens naturels et spirituels entre les responsables : politiques, administratifs et les citoyens. Une situation qui #impacte toutes les institutions. Le peuple ressent un abandon, suscitant le sentiment d’invisibilité, être confondu avec le mobilier national, indifférencié de la bourse. Le gouvernement ne doit pas s’y tromper, il est seul face au peuple et n’a plus de légitimité. }
La sidération et la panique de nos dirigeants face à cette pandémie s’expliquent par la déchirure des tissus sociaux, puisque les appuis naturels à toute société n’existent plus où sont trop affaiblis ; ils ne peuvent réagir avec la même efficacité d’autant que le pouvoir abusif des agents administratifs enfoncent le clou pour tous les contrôler. Le #jacobinisme. C’est ce qui explique également les contretemps, les incohérences. Les solidarités naturelles ne sont plus réactives. Il n’est qu’à voir le comportement du citoyen américain, mais il est vrai qu’aux #U.S.A. les religions sont respectées ainsi que les libertés individuelles. Or, l’hyper-sécularisation de notre peuple français participe à l’effondrement accéléré de notre société avec la complicité passive et active de notre hiérarchie et cette pratique aberrante de la laïcité idéologique.
Les politiques menées depuis #Georges #Pompidou, et quelle que soit l’idéologie, ont été élaborées contre les intérêts profonds du peuple, et tous les responsables ont justifié leurs décisions au nom de l’#Union #Européenne. On comprend bien qu’au-delà d’une symbolique creuse4, ils s’inscrivent dans un processus d’une très grande duperie. On ne s’engage pas à servir le peuple si on n’est pas en mesure de considérer la réalité pour ce qu’elle est. Gouverner n’est pas rêver.
La crise sanitaire et économique est également moral et spirituelle doit être considérée, accueillie dans toutes ses vérités si cruelles soient-elles.
Certes, elle interpelle tous les Français, mais en premiers lieu les décideurs, les élites, c’est eux qui ont la plus lourde responsabilité et culpabilité. Ils n’ont jamais considéré avec respect le mandat qu’ils reçoivent du peuple, ils ne sont pas hommes ni femmes d’honneur. Ils doivent répondre de leurs fautes, de leurs incompétences dans ce qui est un désastre présent et à venir. Le peuple a le droit et l’obligation morale de demander des comptes pour sa descendance. Il n’y aura aucun avenir possible autre que la violence sans un examen de conscience. Mais pour cela, il faudrait qu’il y ait une vraie culture royale, elle viendra des pauvres.
{ Les #gilets #jaunes ont donné cet espoir, ils ont eu raison, ils étaient légitimes. La crise sanitaire et économique leur en donne témoignage. Malheureusement, ils leur a manqué des catholiques fidèles, bien formés. Certains d’entre eux ont tenté de les approcher, ils ont été poliment écoutés et rejetés tout aussi poliment dans la naphtaline par ces catho gaucho-libéraux. Mais ces contestataires auront ouvert un chemin sur lequel s’affronteront inexorablement deux conceptions de la société... Il faudra que les bons acceptent leur échec pour qu’ils en soient victorieux, car la victoire n’est plus dans le nombre de canons. Qui peut aujourd’hui le comprendre ? Où sont nos pasteurs? }
L’obsession du tout financier est une pathologie qui, telles une maladie auto-immune neutralise les rouages et mécanismes naturelles de la société ce qui participe entre autre à la destruction de la Création. Il est juste de parler d’un désastre sanitaire, éducatif, militaire, industriel, culturel et spirituel. Nous sommes sur la première marche du cahot et nous continuons d’envisager la suppression de lits d’hôpitaux, et ils osent même conseiller leur privatisation, #Attali de souhaiter la abolition de la retraite.
Nos élites médiatiques incarnent un aspect de la bête de la mer, elles sont expertes en tout genre sauf en silence et intégrité intellectuelle, mais indépassables en bavardages celui du ne rien dire. Elles nous répètent qu’il faut éviter en cette période d’épreuve toute critique et polémique. Mais nous ne sommes pas en guerre ! L’effort qui est demandé au peuple sera porté par les classes sociales les plus pauvres et démunies et celles-ci vont de la moyenne bourgeoisie à ceux qui vivent sous le seuil de la pauvreté. Il y est profondément indigne et injuste de demander aux citoyens de se taire et de travailler dans des conditions sociales de plus en plus amenuisées et l’I.S. F qui n’est toujours pas rétablie.
On nous annonce que l’après pandémie sera très différent de ce que nous aurons vécu avant, bien sûr qu’il le sera, puisque l’on nous prépare à une dictature mondialiste selon le modèle de la #Chine #Communiste. C’est pourquoi je répète ce que je dis et écrit depuis plus de quinze années, il est impératif de réfléchir à de nouvelles solidarités et de tout faire pour vivre dès maintenant une fraternité basée sur le respect mutuel et la défense du droit et de la loi naturel. Si nous ne réagissons pas immédiatement dans ce sens, nous connaîtrons une dictature, un asservissement inconnu à ce jour.
Et c’est aux catholiques et autres chrétiens avec les musulmans et les juifs d’en prendre l’initiative sans attendre les responsables religieux. Nous avons une lumière, les enseignements du #Pape #François qui sont abordables par tous : «Rappelons ce que Jésus a dit, il y a deux seigneurs, le Seigneur Dieu et le maître argent. On ne peut les servir tous les deux. Pour sortir de cette évidence, de cette réalité, les prêtres et les docteurs de la loi ont choisi l’autre route, celle qu’offrait leur dieu : l’argent, et ils ont payé le silence des témoins. Un des gardes avait confessé, à peine Jésus était-il mort, «vraiment, celui-ci était le fils de Dieu !». Ces pauvres gardes ne comprennent pas, ils ont peur parce qu’il en va de leur vie. Ils sont allés voir les docteurs de la loi et ces derniers les ont payés, ils ont acheté leur silence. Et cela est pure corruption. […] Aujourd’hui encore, devant la fin qu’on espère prochaine de cette pandémie, nous avons deux options : est-ce que notre pari sera la vie, la résurrection des peuples ou ce sera le dieu argent : retourner au tombeau de la faim, de l’esclavage, des guerres, de la fabrication d’armes, des enfants sans éducation... Là est le tombeau. » (Discours du Pape François, messe à Sainte Marthe, ce 13/04/22)
Si personne ne réagit, c’est dans les larmes de sang que nous le comprendrons, mais il sera trop tard. Le discours de #Macron le 13 dernier contient la substance de cette dictature : « Il faut une pandémie pour instaurer définitivement le mondialisme. »
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1- Jacques Attali
2- L’adage des mystiques nous enseigne, on ne se sauve pas seul ni on se damne seul.
3- Je vous renvoie au discours aux chambres en février dernier.
4- Mitterrand et Kohl ont posé le geste de Verdun, sur deux peuples trompés à l’heure de Maastricht et de Lisbonne, le symbole était grand grandiloquent et ne valait pas un pet de nonne.
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