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Photo du rédacteurPierre Aubrit

LA LUMIÈRE DE BETHLÉEM n° 1



LA LUMIÈRE DE BETHLÉEM n° 1


Mémoire du Christ Roi de l’univers

"Hier, l’Église a fait mémoire du Christ Roi de l’univers. Dans son dialogue avec Pilate, il y a cet échange : « Es-tu Roi des Juifs ? Tu le dis Je suis Roi, mais mon royaume n’est pas de ce monde. » Cette parole est accomplie par l’écriteau sur la Croix : « Celui-ci est le roi des Juifs. » Il n’est pas seulement Roi des Juifs, Il est Roi de l’univers certes, parce qu’Il en est le Créateur, mais parce que l’élection du Peuple juif est en vue de sa mission qui est universelle, puisqu’il doit proclamer à la face des nations, leur foi en un Dieu unique, et cela depuis Abraham."


Jésus est ami avec Lazare, la maison de Lazare a des comptoirs partout dans l’empire romain, et Rome est jalouse de sa souveraineté. Lorsque Jésus entame sa vie publique, on peut penser que les autorités romaines se soient inquiétées de Lui, et qu’elles aient su très vite qu’Il descendait de David ; quand Pilate interroge Jésus, il sait qui Il est. L’administration romaine est puissante et informée.

Mais ce qui est intéressant dans le dialogue entre Jésus et Pilate, qui parle au nom de César, c’est que par Pilate l’empereur prend acte que Jésus est Roi, et au vu de la puissance de l’empire romain, cette reconnaissance vaut pour le monde entier, pour toutes les nations et peuples.

Jésus en répondant : « tu le dis, Je suis Roi... » le confirme, cette reconnaissance est scellée dans le surnaturel et ouverte sur la terre. Il y a une réalité surnaturelle qui ouvre une résonance sur terre, un champ mémoriel inter-relationnel dont la résonance est tout à la fois morphique et morphogenèse, sur la matière et sur le vivant de la Création. C’est de ce lieu mémoriel que s’enracine et rend inévitable la venue du Grand Monarque, Henri 5 de la Croix. (Vous trouverez l’explication du lien de nécessité dans le bulletin que nous vous proposons et qui contient un dossier sur le Roi à venir) L’onction davidique s’écoule sur la royauté Franque par cette mémoire vivante qui en Clovis est actuée.


Les évènements purificateurs de l’Église et de l’humanité qui ont commencé dans l’ordre du pratique avec la renonciation de Benoît XVI, et qui se sont accélérés avec cette fausse pandémie amenant le Pape François, lors de sa bénédiction Orbi et Urbi du 23 mars dernier, à faire entrer l’Église et toute l’humanité dans le tombeau du Christ, c’est le début de la nuit de la foi. Ces trois évènements ont pour finalité la souveraineté du Christ sur la terre juste avant son assomption finale.


C’est une réelle douleur que le Peuple de Dieu n’ait pu assister, participer à cette liturgie, car cette année, surtout cette année, on lui aura enlevé son Roi une seconde fois, et cet empêchement intervient à la suite d’un drame inouï, inexcusable : la mort par décapitation du professeur Paty. Cette tragédie a été soulignée par une multitude de déclarations concernant la république : « On a tué la république ou on a décapité la république ! »

Et le Pape François en condamnant infailliblement dans sa dernière encyclique Fratelli Tutti la peine de mort a réhabilité Caïn, il a libéré Barrabas et a pris sa place.


J’ignore si ceux qui ont donné des ordres pour qu’on tue ce professeur se sont rendu compte de la synchronicité de l’histoire ; le professeur Monsieur Samuel Paty a été décapité le 16octobre, jour anniversaire de la décapitation de la Reine Marie-Antoinette, soit 227 ans après. Ce nombre d’années souligne deux fois le chiffre 2 qui est celui du Verbe, Jésus-Christ et 7 qui est une plénitude. Cette synchronicité est à relier avec l’une des prophéties du Sacré Cœur donnée à saint Marguerite-Marie Alacoq à Paray-le-Monial : « Jésus lui montre un très bel arbre qui s’épanouit, et Il lui dit : cet arbre est la république, quand il sera complétement déployé, Je l’abattrai. » La synchronicité entre la date de la décapitation de la Reine Marie-Antoinette et celle de M. Samuel Paty et la somme de 227 annonce que l’arbre est arrivé à la maturité et donc à sa fin. La synchronicité va plus loin, M. Paty a pour prénom Samuel, or le prophète Samuel est celui qui oignit David comme roi d’Israël, sa mort annonce la fin de la république et ouvre la voie au Grand Monarque.

Ce raisonnement est conforme au langage que le Ciel a avec son Peuple fidèle, réellement fidèle.


Le discrédit des grands médias.


C’est Théophraste Renaudot, médecin du roi Louis XIII, qui créa le premier journal français, La Gazette. Le principe de la liberté d’informer n’est pas remis en cause ni le droit de s’exprimer, ni celui de penser, selon ce gouvernement.Il est à propos d’insister sur le nécessité de concilier la liberté avec le bien commun de la personne et du peuple ? La loi autorise tout et le pire, mais elle ne fait pas de nous des personnes irresponsables ni moins coupables. Rappelons-nous les entendus du tribunal de Nuremberg.

Le gouvernement veut restreindre cette liberté de l’information et d’expression en modifiant la loi de 1881 au prétexte de limiter l’appel à la haine en ligne. Ce n’est pas en éliminant les effets qu’on règlera les causes.Notre ministre de la Justice, qui s’est présenté comme un sang-mêlé, prendrait-il à son compte l’art de la tête dans le sable ?


La campagne électorale aux USA met en relief les maux dont souffrent les médias surtout dans nos démocraties. Une situation alarmante, qui souligneleur désinvolture,leur mépris, leur arrogance pour les peuples et les personnes, au point qu’ils dérivent dans l’information irréelle, présentant des faits qui n’ont aucune réalité, empêchant tout discernement par manque d’objectivité.La plupart d’entre eux sont dans les mains d’aigrefins de la finance et de l’économie, et de plus en plus dans celles des entreprises du Web ; ils leur imposent leur ligne éditoriale. Ils n’hésitent pas à manipuler les consciences, les entraînant dans les zones de l’infra-humain avec d’autant plus de détermination qu’ils sont tous membres de la grattouille et autres sociétés secrètes et d’influences. Ces médias sont soumisaux pouvoirs incontrôlés de l’argent, et atteignent des sommets de malhonnêteté intellectuelle.

Dans de telles conditions est-il encore possible de leur faire confiance ? Non. On doit les rejeter. S’il peut être juste de soutenir la liberté de la presse, il faut le faire avec discernement ; aider une pressealternative qui a le grand mérite de mettre en évidence sa ligne éditoriale, de s’y tenir, et qui prend le temps d’exposer la vérité des faits objectifs, et propose leur analyse à la suite. Elle respecte le peuple.


Nous lecteurs, spectateurs de ces médias, nous avonsnotre part de responsabilité. Nous ne prenons plus le temps de la réflexion, nous consommons de l’information comme nous mangeons nos frites. Nous sommes des consommateurs consommés. Des fainéants de l’intelligence et des esclaves du besoin pathologique d’être rassurés. Acause de cette nonchalance, nous leur abandonnons notre autonomie. Nous ne pensons plus par nous-mêmes. Nous sommes lâches par besoin de tranquillité. Pas de désordre ! Panurge en eût été dès plus heureux !


Nous retrouvons cette malhonnêteté au sujet de la pandémie qui n’en est pas une. Tous se retiennent d’un réel esprit critique, et ils se croient utiles à chanter avec les décideurs. Dans le psychodrame enfantin et désastreux au sujet du professeur Raoult, ils auront donné dans le gros-qui-tache et l’absurde paroxysmique. Ils ont contribué à ce que ce gouvernement nous impose un régime de dictature en jouant sur l’insécurité sanitaire et sur le terrorisme, veillant à ce que le Français ne cesse de se reproduire en veau. Et afin de faire bonne mesure, ils discréditent les médias alternatifs en les traitant de complotistes, c’est tellement facile, et surtout ça évite des débats qui pourraient les mettre en difficulté .


Depuis trop longtemps les médias sont devenus des commissaires politiques de la pensée, maîtres en roublardise et déshonneur. Reprenons en main notre temps et espace intellectuel, culturel, retrouvons notre autonomie qui ne se sépare pas du réel, afin d’être participant de la liberté de Dieu. Si nous croyons que nous sommes enfants de Dieu alors agissons en conséquence, réapproprions-nous notre autonomie, reprenons toute notre vie en main pour l’offrir à Dieu par la liberté du don, et grandissons en Lui sans crainte au milieu du monde qui nous rejette. Entrons dans notre liberté d’enfants de Dieu sachant que les libertés que nous offre le monde sont autant d’aliénations.


MONSEIGNEUR AUPETIT


Je m’adresse personnellement à Monseigneur Aupetit archevêque de Paris.


Monseigneur, vous avez accordérécemment un entretien sur un média, au cours de celui-ci, vous avez redit votre incompréhension envers ceux qui s’insurgent quant à la pratique de la communion dans la main. Votre position ne s’adosse pas sur les enseignements du Magistère, car si c’était la cas, cela dénoterait chez vous une faiblesse intellectuelle, mais c’est sur un présupposé idéologique que vous vous adossez, d’autant que vous n’êtes pas sans savoir que la Congrégation pour la liturgie recommande la communion sur la langue. Votre position est en résonance avec les dispositions prétendument sanitaires de ce gouvernement. Or, rien n’indique que la communion sur la langue soit contaminante, mais là où il y a scandale pour les petits, c’est que vous subordonniez Dieu à l’ordre de notre corps. Il n’y a aucun précédant dans l’Église pas même lors des épidémies de peste. Vos propos sur ce sujet ne sont pas ceux d’un pasteur successeur des Apôtres, mais ils viennent d’un évêque compromis avec le monde et ses princes.


Dans ce même entretien vous vous indignez de ce que le peuple de Dieu, que vous avez la charge de guider, de servir, ose manifester pour la liberté de célébrer la messe contre votre avis. Il est invraisemblable Monseigneur que vous n’ayez pas connaissance des textes pontificaux insérés dans le Magistère ni des principes irréversibles qui inspirent notre Pape François dans sa réforme de la curie ni les textes concernant les communautés paroissiales. Vous auriez appris que le peuple n’a pas seulement le sens de la foi, mais également celui du bien commun. Vous auriez appris que vous n’êtes plus le patron impérial de votre diocèse et que votre autorité sur votre troupeau s’est considérablement réduite à ce qui est légitime pour un évêque : la Doctrine, la discipline de vos clercs. Qu’il s’agisse des orientations pastorales, et de tout ce qui fait la vie d’une paroisse et d’un diocèse relève conjointement de l’autorité du peuple, c’est que le Pape François appelle la pyramide inversée, soit la synodalité.


Redescendez sur le réel Monseigneur, la réforme de la curie met un terme au cléricalisme, met un terme au mode de gouvernement selon l’impérium. Le peuple de Dieu n’est pas à vos ordres, il n’a pas à se tenir au garde-à-vous. C’est vous qui êtes à son service, et c’est lui qui a la liberté d’exiger que vous le serviez. Il ne vous appartient plus d’affirmer que vous devez tenir vos troupes, vous n’en avez pas. Il s’agit d’un peuple qui partage à égalité les décisions nécessaires à son salut.

Votre arrogance, votre mépris envers ce peuple éclaire d’un jour cruel la très prochaine apostasie qui se découvrira alors et qui, pour le moment, est encore rampante comme le disait le Pape saint Jean-Paul II.


Monseigneur, vous nous avez séduits par vos prises de positions au sujet de la Loi de Bioéthique revue par le président Macron, mais nous savons que vous ne croyez pas aux fruits des actes posés sur le sujet, pas plus que vous ne croyez pas à la fécondité surnaturelle de votre pontificat, ce sont là vos propres paroles. Même la vérité, en tant qu’objet de recherche, vous indispose, votre démarche est trop politique pour qu’elle soit reçue dans sa sacralité. Vos propos mettent au jour votre inintelligence quant à la dimension royale et prophétique du sacerdoce et de l’Église. Le siège prestigieux que vous occupez, vous oblige à l’exemplarité de votre conduite, de votre pastorat, vous nous en donnez une image ruinée, prostituée, avilie, déchiquetée…

Il est souhaitable que vous ne soyez pas créé cardinal.


CREDIT AGRICOLE SUD méditerranée :

FR76 1710 6000 2105 8567 9500 181

(N’oubliez pas de retenir votre bulletin à l’adresse courriel :

surleroc66@gmail.com)


Votre chèque à l’ordre de : ALLIANCE CHRETIENNE

Votre courrier à :

ALLIANCE CHRETIENNE

Pierre AUBRIT

18, AVENUE LOUIS TORCATIS

66000 PERPIGNAN

TÉLÉ : 06 41 40 14 68




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