INTRODUCTION
La volonté transgressive dont l'homme témoigne pour comprendre le mystère de la vie est concomitante avec celle d'agir sur la matière. En effet, depuis la faute originelle, qui est un péché de curiosité, la volonté de tout comprendre de la création et de l'acte créateur de Dieu ouvre deux voies, l'une est un boulevard d'orgueil, qui met en péril le salut.
L'origine et le mystère de la vie l'ont toujours fasciné ; certains artefacts de l'antiquité comme les sphynx sont des témoignages de cette obsession luciférienne. Il semble, que pour la satisfaire, qu'il n'ait jamais reculé devant les moyens à utiliser pour l'assouvir : la zoophilie, les rituels sataniques. Une situation toujours d'actualité.
Des chercheurs, emprisonnés dans leur orgueil, sont engagés dans la course du surhomme. Ils défient Dieu au détriment de l'intérêt général. Ils se justifient au nom du progrès, qu'ils ne parviennent pas à définir ou au moyen d'idéologies les préférant plutôt que la vérité. Bon nombre d'entre eux sont asservis volontairement par des courants occultes comme ceux qui sont à l'origine du mondialisme. Les sciences et les techniques ont déclaré la guerre au bonheur et à Dieu.
L'Europe chrétienne, à la Renaissance[1], découvre un humanisme néo-païen, qu'elle aura combattu pendant quatorze siècles, et qu'elle introduira dans ses peuples, développant une culture objectivement anti-chrétienne. Elle en fera son instrument d'émancipation de la Loi de Dieu et de l'Église.
René Descartes, les Lumières et les Encyclopédistes, issus de ce mouvement, mais surtout néo-platoniciens, favoriseront l'émergence de l'homme sans Dieu. Leur projet, celui de "l'homme des lumières", qui deviendra le surhomme de Nietzche, est un défi à Dieu et, en conséquence, à la loi naturelle. Ils s'efforceront de faire croire que des champs de liberté sont à conquérir, car c'est la seule liberté qui importe, celle que l'homme conquière. Ils installeront une distance, une méfiance envers le paradigme divin. De leur point de vue, Dieu est inutile, un obstacle au progrès, ce qui les entraîne à un relativisme moral : "Eux qui ont transformé la vérité en mensonge, […]. C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions d'ignominie." Rm. 1, 25-26
Le XVIIIème siècle les sciences prendront leur élan en fracturant les portes interdites. Ils ont étendu et amplifié les effets dévastateurs du mythe prométhéen. Ils n'ont pas attendu de recevoir la connaissance, ils sont allés la chercher à l'opposé de la lumière. Dieu les laisse s'égarer à cause de leur folie orgueilleuse et de la somme des péchés individuels dus à une société qui se dresse contre Lui. Il les confondra par un éblouissement de lumière. Certains d'entre eux sont de zélés acteurs d'un mondialisme de débauche.
Les idéologies fascistes comme : le communisme, le nazisme, le racisme et racialisme, les nationalismes sont ou étaient les avant-gardes du projet mondialiste. Ils se retrouvent dans le wokisme, l'écologisme, le végétalisme, le monachisme et autant d'instrument pour éloigner l'homme de la foi et de la charité. C'est pourquoi les brigades néo-nazies en Ukraine, en Pologne et autres états d'Occident n'ont pas été condamnées, même lorsque leurs exactions furent mises en évidence dans le conflit russo-ukrainien[2].
Le législateur occidental favorise les scientifiques dans leur démarche transgressive, notamment dans les domaines de la matière, de la génétique et de la thérapie médicale. Les milieux médicaux et leurs laboratoires de recherches fondamentales et thérapeutiques sont parties prenantes du projet mondialiste, comme il a été dévoilé avec la pandémie de la covid 19[3].
La collaboration du législateur à l'intérieur de cette collusion est si forte qu'elle initie révèle un long processus de dévoiement au détriment du peuple. Il s'en constate une inintelligence du Bien Commun. L'illustration la plus éclatante de cette situation est la loi de bioéthique votée en France par le gouvernement Chirac, et aggravée par les gouvernements successifs[4]. Cette loi renverse tous les fondamentaux de la société, réalisant une inversion ontologique en vue d'en finir avec le paradigme divin :
"Trivers et Wilson généralisent le principe hamiltonien de l'ajustement global au-delà du cercle restreint de la famille : selon Trivers, un individu risque aussi sa vie pour un étranger, ou l'un de ses parents, sauve à son tour la vie d'un des siens ou aide à sa survie. […] Autrement dit, l'ordre social est un mode d'organisation de la survie des gènes et il augmente avec l'espérance de vie et la capacité mnémonique de l'espèce concernée. Pour ces raisons, il est maximal chez l'homme. […] Avec la sociobiologie, un monde invisible continue de gouverner le monde visible, et la société est le lien d'un conflit entre génotypes dans l'appropriation de l'espace nécessaire à leur reproduction. Ainsi s'annoncent l'élaboration d'un droit de propriété sur l'espace génétiquement nécessaire et l'expression de théories critiques sur ce droit de propriété : le génotype de valeur est celui qui saura persévérer son acquis, l'améliorer. Mais la sociologie ne voit pas que le conflit de génotypes devient un conflit d'objets-vie. En même temps, l'homme disparaît comme objet et comme sujet : le vrai sujet de l'histoire devient le gène et il faut une nouvelle théorie de l'observation pour en évaluer le savoir. L'homme est mort." (Extrait du livre Signes des codes d'Attali)
La responsabilité du législateur quant à l'évolution des sciences et des techniques est totale, un acteur déterminé. Il détourne le mandat qu'il a reçu du peuple et œuvre contre ses intérêts[5].
Il se comprend que traiter de la question sur l'animation est une nécessité, une urgence de charité.
L'humanité ignorait à peu près tout de l'ADN. Friedrich Miescher publie sa découverte capitale quant à "la structure de la molécule de la vie" entre 1868 et 1869. Il est aujourd'hui considéré comme le Père fondateur de la génétique[6]. Il faudra attendre James Watson et Francis Crick ; ils publieront dans la revue Nature le 25 avril 1953, le résultat de leurs recherches. Le législateur ne prendra aucune mesure d'encadrement. Le Pape Pie XII sera l'un des rares dirigeants à prendre conscience des enjeux de ces découvertes.
L'Église, grâce et à cause des propositions de Marc Aurel[7], se saisit de la question de l'animation. Marc Aurel proposait que l'homme soit l'unique cause instrumentale de la procréation, le ventre de la femme étant considéré comme un incubateur sans autre fonction que d'accueillir le petit d'homme, il supposait détenir l'ovule et le spermatozoïde. Une telle proposition remettait en cause la conception virginale de Jésus-Christ. les Pères de l'Église, dans l'ignorance scientifique, ont proposé une animation tardive fixée arbitrairement à quarante jours. Saint Thomas d'Aquin reprit cette proposition à 40 jours pour un homme et à 80 jours pour une femme, s'appuyant ainsi sur Aristote[8].
Le débat sur l'animation prit une ampleur plus large et plus dramatique lors de la discussion du projet de la loi bioéthique et précédemment, mais avec moins de virulence, lors de l'IVG. Il est évident que les courants anti-chrétiens ont œuvré sur deux fronts essentiels : la manipulation de l'information et neutralisation des voix de l'Église, y compris celle du Pape saint Jean-Paul II lors du débat de la loi de bioéthique.
L'un de ceux qui, dans l'Église, aura agi avec une détermination difficilement explicable sur les plans intellectuel et spirituel, fut le Père Marie-Dominique Philippe[9]. Après avoir initialement soutenu une animation dès le premier génome, il s'y est opposé, allant jusqu'à proposer une animation à six mois. Voici un texte qu'il a prononcé confirmant sa position initiale :
" […] Créateur de l'Être premier. C'est une grande monté verticale. Je découvre qu'il y a en moi quelque chose de divin qui ne peut venir que de l'Être premier, qu'il y a en moi une étincelle du divin. Ce qui nous console de ne pas être des génies, mais une "étincelle du divin", de spirituel, qui nous apparente directement à Dieu. Mais quand cette âme a-t-elle été créée en nous ? Extrêmement intéressante et brûlante, aujourd'hui, cette question : elle est posée d'une manière très forte avec la question des manipulations génétiques et de l'avortement. Jusqu'où le philosophe peut-il éclairer ces soubassements, cette vie souterraine que nous avons tous eue, et dont normalement nous ne nous souvenons pas beaucoup ? Donc, peut-on philosophiquement préciser à quel moment l'âme humaine, créée par Dieu, est créée dans le corps humain ? Aujourd'hui, nous pouvons aller plus loin que ce que disaient les Anciens, à cause des découvertes génétiques. Quand on dit que le "chiffre biologique" de l'homme est donné dès le premier moment de la conception, cela intéresse beaucoup de philosophes. C'est extraordinairement intéressant, parce que cela prouve qu'un vivant autre est présent. Le vivant a son chiffre biologique propre. Or si l'âme informe le corps, c'est elle qui donne au corps son chiffre biologique. Pour mieux comprendre prenons l'hypothèse de saint thomas. C'est respectable et cela reste intelligent. Il dit que l'âme spirituelle est formée par Dieu lorsque le corps est suffisamment formé ; mais alors il y a nécessairement un passage d'une disposition – d'une vertu instrumentale dispositive qui vient des parents comme pour l'animal – à la forme substantielle. Ce n'est pas bête, mais inadmissible si l'on considère les découvertes biologiques d'aujourd'hui. Si les premiers moments étaient uniquement de l'ordre de la disposition le passage à la forme substantielle, lors de la création de l'âme spirituelle, impliquerait un changement total – au niveau philosophique, je ne peux pas dire qu'il y a continuité entre la disposition et la forme substantielle. Donc le chiffre biologique ne serait donné qu'à ce moment-là. L'âme informe le corps ; si l'âme était créée après un certain temps, tout le corps de l'homme, dans tout ce qu'il est, dans toute sa sensibilité, serait transformé par l'âme. Donc nécessairement le chiffre biologique ne pourrait être le même. Je livre cela à votre réflexion.[10]"
Son revirement l'engagea dans une voie qui l'opposa au Pape saint Jean-Paul II, d'une manière et en des termes qui ne sauraient être excusables, quand bien même tout soit pardonnable.
Voici le discours du Pape saint Jean-Paul II au sujet de l'animation :
"Mesdames, Messieurs,
1. En vous adressant à tous mes salutations, membres ordinaires et correspondants de l'Académie pontificale pour la Vie, je voudrais exprimer mes vifs remerciements à votre président, le Professeur Juan de Dios Vial Corres, pour ses aimables paroles. Je salue également votre vice-président, Mgr Elio Sgreccia, qui se dépense généreusement au service de votre prestigieuse institution. Je saisis volontiers cette occasion pour vous exprimer également ma reconnaissance pour tout ce que l'Académie a réalisé, depuis le tout début de sa création, pour accomplir sa tâche de promotion et de défense de la valeur fondamentale de la vie.
L'ambiguïté d'un merveilleux parcours scientifique
2- Je suis heureux que vous ayez inscrit à l'attention de votre quatrième Assemblée général le thème : "Le Génome humain" : personnalité humaine et société de l'avenir". Dans le merveilleux parcours qu'accomplit l'esprit humain pour connaître l'univers, l'étape que l'on enregistre depuis des années dans le domaine génétique est particulièrement importante, parce qu'elle mène l'homme à la découverte des secrets les plus intimes de sa corporéité.
Le génome humain est comme le dernier continent qui soit maintenant exploré. Au cours du millénaire qui est sur le point de se terminer, si riches en drames et en conquêtes, les hommes, par les explorations géographiques et les découvertes, se sont connus, et d'une certaine manière, rapprochés. La connaissance humaine a également réalisé d'importantes acquisitions dans le domaine de la physique, jusqu'à la découverte récente de la structure des composants de l'atome. Maintenant, les scientifiques, par les connaissances en génétique et en biologie moléculaire, lisent avec le regard pénétrant de la science à l'intérieur du tissus intime de la vie et des mécanismes qui caractérisent les individus, assurant la continuité des espèces vivantes.
3- Ces conquêtes révèlent toujours davantage la grandeur du Créateur, parce qu'elles permettent à l'homme de constater l'ordre inscrit dans la création et d'apprécier les merveilles de son corps et de son intelligence, dans laquelle, en une certaine mesure, se reflète la lumière du Verbe "par qui tout a été créé"(Jn 1,3)
À l'époque moderne, cependant, forte est la tendance à rechercher le savoir non pas tant pour admirer et contempler, mais plutôt pour accroître la puissance sur les choses. Savoir et pouvoir se mêlent toujours plus dans une logique qui peut emprisonner l'homme lui-même. Dans le cas de la connaissance du génome humain, cette logique pourrait porter à intervenir dans la structure interne de la vie de l'homme, dans la perspective de soumettre, sélectionner et manipuler le corps et, en définitive, la personne et les générations futures.
Aussi votre Académie pour la Vie a-t-elle bien fait de centrer sa réflexion sur les découvertes actuelles dans le domaine du génome humain, voulant par-là mettre à la base de son travail un fondement anthropologique qui repose sur la dignité même de la personne humaine.
La dignité anthropologique du génome
4- Le génome apparaît comme l'élément structurant et constructif du corps en ses caractéristiques tant individuelles qu'héréditaires : il marque et conditionne l'appartenance à l'espèce humaine, le lien héréditaire et les notes biologiques et somatiques de l'individualité. Son influence dans la structure de l'être corporel est déterminante dès le premier instant de la conception jusqu'à sa mort naturelle. C'est sur la base de cette vérité intérieure du génome, déjà présent au moment de la procréation où les patrimoines génétiques du père et de la mère s'unissent, que l'Église s'est donnée pour tâche de défendre la dignité humaine de tout individu dès le premier instant où il surgit.
En effet, l'approfondissement anthropologique porte à reconnaître que, en vertu de l'unité substantielle du corps et de l'esprit, le génome humain n'a pas seulement une signification biologique ; il est porteur d'une dignité anthropologique qui a son fondement dans l'âme spirituelle qui l'envahit et le vivifie.
Il n'est donc pas permis de réaliser quelque intervention que ce soit sur le génome, qui ne viserait pas au bien de la personne, comprise comme unité de corps et d'esprit. De même, il n'est pas permis d'opérer une distinction entre les sujets humains d'après d'éventuels défauts génétiques remarqués avant ou après la naissance.
5- L'Église catholique qui reconnaît que l'homme racheté par le Christ est sa route (cf. enc. Redemptor hominis, 14), insiste pour que soit assurée aussi par la loi la reconnaissance de la dignité de l'être humain comme personne dès le moment de sa conception. Elle invite en outre tous les responsables politiques et scientifiques à promouvoir le bien de la personne par le moyen de la recherche scientifique destinée à mettre au point d'opportunes thérapies également dans le domaine génétique, pourvu qu'elles apparaissent praticables et exemptes de risques disproportionnés. Cela est possible dans les interventions thérapeutiques sur le génome des cellules somatiques, mais non pas sur des cellules germinales et de l'embryon précoce.[11]"
Le débat sur l'animation, lors du projet de loi de bioéthique comme pour celui de l'IVG, a été sciemment brouillé. Il ne s'agissait pas de définir une période temporelle supposée qui conditionnerait l'animation, mais de déterminer quelle disposition biogénétique est requise, après la fécondation de l'ovule, pour qu'elle puisse avoir lieu. Il se dit que le diable se cache dans les détails : ceux qui souhaitaient cette loi, comme pour l'IVG, ont su en tirer parti.
_________________________________________
[1] Les apparitions à sœur Marianna de Jésus Torres et ses aventures intérieures, ainsi que la mise à sac de Rome par Charles V d'Espagne, et les diverses condamnations prononcées par la très Sainte Vierge Marie condamnent la Renaissance.
[2] Le récent hommage à Auschwitz était une inconcevable hypocrisie, un lavage de conscience au détriment de l'honneur des victimes. Le gouvernement de Macron s'est opposé à leur condamnation.
-
[3] Elle a mis en lumière une collusion impliquant les religions, mais surtout un pourcentage élevé de la hiérarchie de l'Église catholique, dont l'actuel occupant du Saint Siège, un collaborateur zélé du mondialisme.
[4] Cette loi comporte un volet autorisant la production du clonage humain et celle de chimères dans une optique industrielle. Une loi demandée par les loges, comme l'a confirmé le grand maître du Grand Orient lors de sa sortie du banquet offert à l'Élysée à l'occasion du deuxième centenaire de l'implantation de la franc-maçonnerie en France.
[5] La pandémie du Covid fut orchestrée par les puissances du mal auxquelles collaborèrent la France et les U.S.A., se servant du laboratoire P. 4 installé au Vietnam[5]. La campagne de vaccination reçut l'impensable soutien d'une hiérarchie catholique française prostituée aux loges et à la république, au point qu'elle monnaya son silence contre l'élargissement de l'assiette fiscale pour les donateurs. Elle tenta d'imposer la généralisation de la réception transgressive du sacrement de l'Eucharistie, imposant la communion dans la main, ce qui aura renforcé l'influence de l'Antéchrist introduit dans l'Église.
[6] Nous observons que les découvertes scientifiques s'accélèrent à partir du XVIIIème siècle, mais surtout après la révolution de 1789 ; était-ce un bien ? Le mystère de la vie et sa maîtrise ont toujours étaient l'obsession d'une recherche dévoyée de la connaissance.
[7] Empereur romain, philosophe stoïcien.
[8] (Il faut donc considérer que la proposition de saint Thomas repose exclusivement sur celle d'Aristote un païen.) Saint Thomas d'Aquin, pas plus que ses prédécesseurs, n'avait les connaissances scientifiques sur le sujet, son erreur fut de s'appuyer sur Aristote, il eut été prudent de suspendre toute affirmation, et d'admettre, provisoirement, l'impossibilité du connaissable. Il faut, une fois pour toute, considérer que les travaux de saint Thomas d'Aquin ne sont pas infaillibles, certes ils ne comportent pas d'erreur de foi ; mais la philosophie ne tombe pas sous l'autorité de l'infaillibilité. Saint Thomas a commis des erreurs, faute de connaissances scientifiques. Il faut donc considérer certains sujets qu'il a traités comme perfectibles. Lui-même a remis en cause son travail. Élever son œuvre au rang de l'infaillibilité, de la révélation, est une démarche idolâtre ; toute œuvre humaine peut être remise en cause sauf les définitions du Magistère qui sont intouchables. Saint Thomas d'Aquin n'est pas l'Esprit Saint.
[9] Dominicain, philosophe réaliste et thomiste, fondateur de la communauté des Frères de Saint Jean. Il enseigna à Fribourg. Son œuvre fait l'objet d'une interdiction d'enseignement.
[10] (Texte extrait des Cahiers de l'UISH années 85/90 – Conversation sur l'homme comme vivant)
[11] Discours A. G. Ac. P. Documentation catholique du 08/04/1998 n° 2179
Comments